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"LA GENEALOGIE"

Il est assez peu commun qu'un jeune garçon de 12 ans se mette à rechercher ses ancêtres en 1973.
Et pourtant. . .


 

1. Les renseignements de départ

Ils sont très peu nombreux : quelques photos. Parfois, il est même impossible d'y associer un nom. Hélas, elles resteront anonymes...Il reste les dernières demeures de nos prédécesseurs, les cimetières. Ils sont riches d'informations : d'une part, le monument en lui même peut permettre de se représenter comment vivaient nos ancètres (taille du monument et architecture funéraire de l'époque); d'autre part, les inscriptions, portées sur la tombe elle même, donnent des noms et parfois des dates très utiles au départ des recherches.

Par ailleurs, si le noms des personnes inhumées n'était pas inscrit, j'ai pu dans certains cas, demander au service du cimetière considéré, s'il y avait une liste pour chaque caveau. Il faut bien relever les sections, et les numéraux des tombes et parfois faire sa demande par courrier.

Seules les origines géographiques de quelques familles sont connues :

1.1 Côté maternel

Nom de famille
Commune (Département)
SUBRENAT
Tocanne Saint Apre (Dordogne)
RENAUD
Montbéliard (Doubs)
JEANNIN
Belvoir (Doubs)
FAURÈS
Toulouse (Haute Garonne)
COURET
(Haute Garonne)



1.2 Côté paternel

Nom de famille
Commune (Département)
PRAINEAU
Machecoul (Loire Atlantique)
GALLAIS
Machecoul & Saint Hilaire de Chaléons (Loire Atlantique)
LEQUIMENER
Piriac Sur Mer (Loire Atlantique)
FIOLLEAU
La Limouzinière (Loire Atlantique)



2. L'état des recherches actuelles (voir liste d'ascendance)

2.1 Côté maternel

La famille SUBRENAT-Renaud

Dans les années 70, mon arrière grand-mère maternelle Agathe Renaud, épouse Martial Subrenat, me racontait beaucoup d'histoires sur elle, son mari militaire et sa fille. Je lui posais des questions, et elle était très heureuse de m'expliquer ce qu'elle avait conservé en mémoire.

A l'époque, j'étais un peu jeune, il est vrai, mais après sa disparition en 1971, j'ai ressenti un grand vide. Et là je suis parti à la recherche de renseignements auprès de sa fille.

En fait nous n'avions pas grand chose comme documents. Les déménagements successifs, les guerres et les bombardements de 14-18 et 39-45 ont fait disparaitre les documents anciens, les photographies....

Une dizaine de photos d'avant 1914 et une carte postale envoyée avant la "Der des Der" sont les seules rescapées de l'enfer de Verdun. Mes arrière grands-parents avaient été évacués de cette région avec pour bagage trois valises de 20 kg; et leur maison fut détruite lors d'un bombardement...Seule rescapée la fameuse carte postale...découverte dans les décombres de leur habitation par un frère de Martial en permission dans le secteur.

Un premier arbre, pour la famille Subrenat, a été dressé en 1980 assez succint. Cette famille est originaire d'un petit bourg de Dordogne : Tocanne Saint Apre. Le couple Agathe et Martial Subrenat y sont inhumés.

Côté Renaud originaire de Montbéliard , on débouche sur une famille Jeannin originaire de Belvoir dans le Doubs. De ce côté, j'ai très peu de renseignements.

Photos du couple Martial SUBRENAT & Agathe RENAUD & de leur fille.

Photos de Marie Josette Adèle JEANNIN mère d'Agathe RENAUD.


Du côté d'Etienne, mon grand père maternel se fut tout aussi problématique.

La famille FAÜRÈS-Couret

Les recherches que j'ai effectuées sur cette famille ont été assez difficiles au départ. Les quelques renseignements familliaux, que j'ai pu réunir, m'ont permis d'avancer à petit pas. Les souvenirs de mon grand-père maternel, Etienne Faurès, (né à Carcassonne en 1902, décédé en 1987 à Nantes)ont ainsi donné quelques bases de recherches.

Le premier contact a été réalisé avec un de ses cousins, Maître Trignac, notaire à Toulouse (une des villes étapes pour cette famille se déplaçant à travers la France du Sud-Ouest). Quelques lettres échangées ont pu ainsi établir un premier lien avec le petit fils de cette personne. Par son intermédiaire, des renseignements précieux ont été recueillis. Les recherches ont pu redémarrer de plus belles.

Le travail qui suivit, a été de prendre de nouvelles informations auprès des bibliothèques, des Archives Dépatementales et de compléter ces premiers documents. Les recherches ont donné de nouvelles pistes sur des villes comme Toulouse (31), Rochefort Sur Mer (17). Durant les années 1990-94, j'étais enseignant dans le Sud-Vendée, j'ai pu me rendre plus facilement aux Archives Départementales à La Rochelle. A la lecture des actes, j'ai pu constater que la famille Faurès est restée environ 80 ans à Rochefort. Un fils Anthoine et sa soeur, dont il avait la tutelle, étaient originaires de Bordeaux (33). Je me suis rendu aux Archives Municipales de cette ville, mais des actes manquaient et il me fut difficile de pouvoir faire de nombreuses découvertes. La famille Faürès semble être implantée depuis longtemps dans cette ville, mais je n'arrivais pas à trouver un seul lien entre les différentes familles.

Il semblait que je fusse tombé dans une impasse. Mes tentatives pour rentrer en contact avec le Cercle de Généalogie de Bordeaux lors de mes visites éclair, ont été enfin fructueuses. Une étude sur cette famille avait été réalisée par Monsieur Pierre JULIEN-FERRIèRE aujourd'hui décédé (Il semble que ses archives et documents aient été transférées aux Archives Départementales de la Gironde). A l'aide de ces nouvelles informations, je me suis rendu chez Monsieur Le Professeur Massé qui était cité dans cet essai. Nous avons pu compléter nos informations.

Vivement conseillé par Monsieur Massé, je me suis rendu dans l'Entre Deux Mers, au Village de Ladau berceau de cette famille très "bordelaise". Il semble maintenant qu'il ne reste plus qu'à poursuivre des recherches descendantes.

Si, parmi les noms que vous allez trouver dans la base Faurès, vous pouviez vous raccrocher aux branches, déjà existantes, il serait souhaitable que vous me contactiez, ainsi nous pourrions échanger nos données et compléter un travail juste ébauché.

Du couple Stéphanie Morel-Louis Faürès, nous remontons sur différentes familles dont voici quelques noms :

 

 

 

 

 

 

 

 


Stéphanie MOREL et Louis FAURÈS (
photos) ont eu plusieurs enfants.
Sur l'un d'entre eux, (
Henri Faurès) un petit livret avait été édité après sa mort.

 

 

Madame Taupin de Magnitot
née Lesseps

(Collection particulière)

 

 


Maison ditte "Maison des
Lesseps "à Bayonne (64)

 

 


Les fonds baptismaux de
la Cathédrale de Bayonne (64)

 


Ce couple eut plusieurs enfants dont les deux derniers furent des vrais jumeaux (ils avaient même parfois du mal à se reconnaitre sur certaines photographies). Mon arrière grand-père, Vincent Faurès épousa Margueritte Couret (famille originaire de Marignac Lasperes et d'Alan 31). Une partie du travail sur cette famille Couret a été réalisée voici deux ans, lors d'un voyage dans cette région. Les familles rencontrées :



Eglise d'Alan (31)
Berceau de la famille COURET




2.2 CÔTE PATERNEL

Famille PRAINEAU - Gallais

La famille Praineau est originaire de Machecoul (44), du moins jusqu'en 1710. A cette époque, ce nom était orthographié d'une autre manière : Prineau. Il s'est ensuite transformé en Presneau puis Praineau (1850) pour quelques individus. Sur les quatre dernières générations, il n'y a eu qu'un fils. Aussi, il semble qu'aujourd'hui il n'y ait plus d'autre personne, à part moi même, à porter ce nom.

Il est assez difficile de remonter plus loin car une partie des registres de cette ville ont disparu. Il me faudra faire des recherches complémentaires pour faire des rapprochements.


Côté Gallais, il faut aller voir dans les communes voisines : Saint Hilaire de Chaléons (44) et Saint Mars de Coutais (44).




Famille
LEQUIMENER - Fiolleau

Cette famille, implantée à La Limouzinière (44) au village de la Michelière , puis à Machecoul est en fait originaire de Piriac Sur Mer (44). C'est un prètre qui a mis en contact François-Marie Lequimener et Victorine Fiolleau et ils se sont mariés.... En effet, ce prètre a séjourné dans les deux cures (Piriac et La Limouzinière).

La famille Lequimener est une vieille famille de la presqu'île guérandaise. Les représentants de cette "tribu" sont restés de 1732 à 1880 dans la même village sur la commune de Piriac. C'est Pierre Quimener, qui en quittant Mesquer et Promota près de Kerro pour prendre femme, s'est installé dans la paroisse voisine. Au cours de sa vie, il en prit trois...

Je connais beaucoup plus cette famille Lequimener car en fait, c'est par ce côté que j'ai vraiment commencé ma généalogie. J'ai eu la chance de trouver dans la maison familliale des vieux actes, du courrier et surtout un extrait de naissance au nom de François-Marie Lequimener (né en 1856). Je ne l'ai pas connu, mais j'en ai profité pour poser des questions à mon père à son sujet et sur sa famille. Sur les autres documents trouvés, figuraient des noms de familles qui ne lui disaient rien. Et oui, des partages de 1710 et des actes de 1526 sont peu parlants pour des hommes vivants au XX ème siècle. Je suis donc parti à la mairie de Piriac avec l'extrait de naissance de 1856 et j'ai recherché tous les Lequimener que je pouvais rencontrer. Arrivé à Pierre (celui qui venait de Mesquer), mon père s'est souvenu que le curé de cette paroisse lui avait écrit dans les années 50. Il m'a recherché le double de son courrier...

"Et me voilà devant la cure, je sonne...on m'ouvre...
Bonjour madame pourrais-je voir Mnsieur l'Curé s'il vous plait ?
Il n'est pas là revenez plus tard ! "


Je suis revenu et je ne l'ai pas regrété. Avec Monsieur l'abbé Paul Mercier, nous avons comparé nos sources, et nos renseignements réciproques ont pu déboucher sur la réunification des Lequimener de Piriac à ceux de Mesquer. C'est avec Monsieur le Curé que j'ai pris goût à l'histoire. Passionné lui même, il m'a fait comprendre que connaître ses ancêtres, c'est bien, savoir comment ils vivaient, c'est mieux.

Et donc je me suis lancé dans les bibliothèques et les archives départementales, à la recherche de tous documents me permettant de cerner la vie de mes prédéceseurs. Plusieurs fois, nous nous sommes rencontrés à sa cure, à Piriac dans la maison familliale, mais aussi à Assérac où il s'était retiré quelques temps, puis à Nantes dans sa maison de retraite. Je pense souvent à lui car sans son aide, je n'aurais certainement pas persévéré. Et je ne serais pas là aujourd'hui, devant mon ordinateur...


Pour ce qui est de la famille Lequimener de Piriac, il reste encore à faire des recherches. Quant à ceux de Mesquer, Paul Mercier m'avait laissé quelques brouillons de généalogie. Il va falloir que je me penche sérieusement dessus pour démeler tous ces noms et atteindre les personnes actuellement en vie....

 



Remarque :

Par ces quelques lignes, j'ai voulu vous montrer l'état de mes recherches. Je suis en train de mettre à jour toutes mes données généalogiques, aussi me faudra-t-il encore du temps avant de pouvoir tout publier ici.

 

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